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                                                La députée des Yvelines plaide pour une remise à plat du système de financement des associations. Seules celles reconnues d’utilité publique verront leurs subventions maintenues. Les autres devront passer par Internet et adresser une demande en ligne sur laquelle tout citoyen aura un droit de regard. Quant aux associations qui n’auront pas rempli leurs obligations légales, elles devront rembourser leurs subventions à la région. L’équipe de Valérie Pécresse espère ainsi récupérer 22 millions d’euros.

                                                       En premier lieu, elle a mis en avant son "plan anti-gaspillage" des ressources financières de la région - il est question de 400 millions d'euros d'économies par an sur la mandature -, et dont les points les plus symboliques sont certainement la baisse des subventions aux associations de 75 millions d'euros par an, et le non remplacement d'un fonctionnaire territorial sur deux partant à la retraite - hors lycées -, qui ferait gagner 17 millions d'euros par an à la région Île-de-France. […]

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                                                                Avant que les élus n’en prennent connaissance, la présidente « Les Républicains » de la région, Valérie Pécresse, a annoncé dans la presse les grandes lignes de son prochain budget, contesté par la gauche.

                                                                L'ex ministre du Budget de Nicolas Sarkozy lance "la chasse aux gaspillages" au sein de l'institution. Le train de vie de la Région va baisser, notamment en divisant le parc automobile par trois. Elle prévoit de baisser "de 10 % les dotations aux 31 organismes associés à la région, qu’il va falloir fusionner" et de "mettre fin aux doublons et d’arrêter de financer ce qui n’a aucune retombée pour l’Île-de-France".

                                                              Concernant le logement "très social", la décision d'en arrêter les subventions dans les communes où il est déja très présent (à hauteur de 30%) a été prise il y a déja un mois. mais les élus de gauche ne la digèrent toujours pas. A leurs yeux, elle est irresponsable dans une région où il y a pénurie de logements. Pour le communiste Pierre Laurent, "elle brise l'effort de ceux qui veulent construire".

                                                         Quel avenir pour les politiques de soutien au développement de l'économie sociale et solidaire en Ile-de-France ? Les entreprises de l'ESS sont inquiètes."L'ESS sans accompagnement public ne se développera jamais" / Inquiétudes du secteur de l'insertion par l'activité économique

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